Des stratégies d'apprentissage
Dans cet article (un peu long, je vous préviens), je veux parler plus concrètement des apprentissages informels car je constate qu’il est parfois difficile pour certains des jeunes que j’accompagne de repérer, et donc de valoriser, les moments d’apprentissages informels qui font la richesse de leur quotidien. Ils ont du mal à les voir comme quelque chose de valable, parce qu’ils ne sont pas assis à étudier un cours. Ce n’est pourtant pas la seule manière d’apprendre. La méthode scolaire est tout à fait valable si elle est choisie, en revanche, si elle est subie, c’est signe qu’il faut faire quelque chose.
On peut aborder tous les sujets “au programme” (si c’est ce qu’on souhaite faire) de plein de façons différentes — tout en gardant à l’esprit que les sujets des programmes sont sélectionnés parmi une infinité d’autres sujets tout aussi “importants” et passionnants. Et puis, on peut tout à fait mixer le suivi d’un programme avec d’autres manières d’apprendre pour rendre cela plus vivant et riche et apporter des ouvertures.
Avec cet article je m’adresse cette fois-ci aux jeunes directement. J’aimerais proposer des pistes à celles et ceux qui tâtonnent pour trouver leur propre chemin d’apprentissage.
Voici donc une liste, non exhaustive évidemment, d’idées à utiliser pour vos apprentissages. Vous verrez que la plupart sont des choses que l’on fait naturellement, dans la vie quotidienne, quand nous sommes libres d’apprendre. Pourtant, on n’y pense pas forcément. Ian Cunningham a identifié 89 manières différentes d’apprendre, et il y en a probablement plus, et John Holt a défini l’apprentissage comme un processus naturel qui arrive à toute personne occupée à faire quelque chose qui l’intéresse. C’est ce type de “travail” que vous devez vous entrainer à voir et valoriser, et si vous avez en tête ces différentes stratégies d’apprentissage, vous pouvez les intégrer consciemment dans votre parcours.
Se poser des questions, écouter sa curiosité
Se posez des questions, c’est tout simplement ouvrir des portes, c’est projeter son esprit dans un territoire d’exploration. En prenant l’habitude d’écouter et de prendre au sérieux les questions qui vous arrivent, vous allez vous diriger vers un apprentissage plus naturel et auto-motivé ; vous ouvrez la porte à l’exploration et à la découverte, et empruntez un parcours dont vous êtes le maître. Personne ne vous dit par quel chemin passer ni avec quelles ressources, ni pour combien de temps. Peut-être aurez-vous besoin d’un cours, d’un professeur, d’un manuel ou d’un MOOC, ou de visites de terrain... peu importe la méthode du moment qu’elle est choisie.
Peut-être n’écoutez-vous pas vos questions car elles vous procurent de la peur : celle de ne pas savoir, de douter, de ressentir de la confusion, ou autre forme de stress, de ne pas savoir par où commencer... C’est tout à fait légitime quand on explore quelque chose de nouveau, d’inconnu ou de complexe. Il faut oser faire le premier pas, ouvrir la porte et se laisser guider par sa curiosité.
Et à propos de la curiosité, dans leur livre “Curious Mind”, les auteurs analysent différents types de curiosité, qu’ils relient à un animal. Peut-être êtes-vous comme la pieuvre avec ses bras interrogateurs qui s’étendent dans toutes les directions ou comme la chenille qui avance tranquillement dans une direction ? Certaines personnes ont envie de connaître plein de choses, sans spécialement creuser le sujet, alors que d’autres ont un centre d’intérêt puissant et concentrent leur curiosité, recherchant sans cesse de nouvelles informations et points de vue dans un domaine précis. Il n’y a pas une curiosité meilleure que l’autre, c’est simplement différent. Vous en avez un aperçu quand vous rencontrez quelqu’un qui ne vous parle que d’une chose de manière très pointue, ou une autre personne qui peut aisément aborder un grand nombre de sujets, mais sans plonger dans le détail. Évidemment, il y a des curseurs entre ces deux types de curiosité, et on peut naviguer de l’un à l’autre selon les domaines.
Lire
Lisez ! Lisez tout ce qui vous fait envie, sur tous les sujets, toutes sortes de livres ! Il y a tant de choses à apprendre via les livres. De temps à autre vous pouvez mener une lecture plus approfondie.
Voici quelques conseils pour tirer parti d’une lecture :
- Avant la lecture, essayez d’avoir une vision globale du sujet, de l’orientation de l’auteur, du contexte, des idées générales du livre...
- Pendant la lecture prenez des notes. Si vous êtes comme moi, vous aimez peut-être écrire dans vos livres et souligner des passages. Mais pour retenir et s’imprégner des idées de l’auteur, il est bien plus efficace de prendre des notes dans un cahier, en utilisant vos propres mots et en recopiant des passages importants que vous souhaitez garder.
- À la fin de chaque chapitre, prenez un petit temps de réflexion pour vous remémorer ce qui a été lu. Quelles sont les idées principales ? Qu’est-ce qui vous a marqué ? Il y a peut-être des choses qui ne vous plaisent pas, des idées avec lesquelles vous n’êtes pas d’accord. S’il y a une bonne âme qui veut bien vous écouter, racontez-lui ce que vous avez lu et ce que vous en pensez, discutez les points de controverse pour avoir un avis extérieur. Prenez un temps pour écrire ce que vous avez retenu et votre ressenti.
- Après la lecture du livre, si le livre vous a vraiment plus, vous pouvez écrire un commentaire. Lire un livre et en faire une synthèse avec vos propres mots, puis l’expliquer à d’autres est le meilleur moyen de bien saisir le sens de ce que vous avez lu et de le retenir.
- Si un sujet vous intéresse particulièrement et suscite votre intérêt essayez de trouver des livres qui proposent d’autres points de vue.
Écrire
Écrivez, écrivez, écrivez ! Écrivez à propos des sujets que vous étudiez en répondant à vos questions par exemple ; écrivez ce qui vous passe par la tête dans un bullet journal ; écrivez à des amis, à vos grands-parents ; écrivez des histoires ; écrivez pour un blog ou un site internet, un jeu…. Il y a tant de possibilités.
Ne vous arrêtez pas à votre soi-disant niveau d’écriture ou d’orthographe, c’est en forgeant que l’on devient forgeron.
Écrire un texte abouti sur un sujet qui vous tient à cœur est un très bon moyen de développer des connaissances et d’y voir plus clair dans votre compréhension de ce sujet, sur votre opinion… cela vous aidera aussi à faire de liens avec d’autres sujets qui vous intéressent et à ouvrir d’autres portes.
Écrire est un travail très intéressant car il vous demande d’organiser vos idées, de penser à des arguments, de construire une progression… L’écrire met de l’ordre dans vos pensées.
Si vous vous sentez bloqués pour écrire, commencez par recopier des beaux textes, des extraits de grandes œuvres. C’est une manière d’intégrer la qualité de la langue. Puis lancez-vous, exercez-vous, en commençant par les sujets que vous maitrisez le plus.
Regarder, observer…
Quittez vos écrans et votre téléphone pour pendre le temps d’observer la vie autour de vous, remarquez des détails, prêtez attention aux gens, à la nature, au ciel… Exercez votre regard, apprenez à remarquer ce qui se passe autour de vous. Les nuages ont une forme très particulière ce jour-là, pourquoi ? Quelle en est la cause ? Un oiseau que vous n’avez jamais vu par ici ? Est-il un migrateur de passage ? Oh, ce café vend du Bubble Tea, quel goût cela peut-il avoir ? De quoi sont faites les boules qui se trouvent dedans ?... Tout est bon à observer et découvrir.
Fournissez à votre regard de belles choses à voir : des expositions, des spectacles, des beaux livres ou beaux documentaires… Votre cerveau a besoin de se nourrir de belles choses et de s’inspirer. On ne crée pas à partir de rien, mais à partir de ce que l’on offre à notre cerveau. Il a besoin d’un terrain fertile d’idées de tout type, que ce soient de belles images, de beaux textes, de belles idées...
D’ailleurs après un moment de travail concentré, votre cerveau a besoin d’une coupure, et de se laisser aller. Ce peut être le moment de lui offrir une promenade en extérieur et si ce n’est pas possible, feuilletez un beau livre ou regardez un court documentaire inspirant.
Écouter
Écoutez la radio, de la musique, des podcasts, des conversations… il y a tant de choses à écouter ! Les livres audio ne sont pas moins efficaces qu’une lecture et l’avantage est que l’on peut faire autre chose en même temps, comme une activité manuelle qui ne demande pas trop de concentration (dessiner, tricoter, crocheter, modeler, bricoler…). Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, occuper ses mains aide à mieux se concentrer sur l’écoute !
Les podcasts sont aussi une mine d’or, avec des émissions sur tous les sujets. Une simple recherche vous aidera à en trouver (par exemple : meilleurs podcasts sur la nature, meilleurs podcasts sur l’histoire, la philosophie…).
Si vous apprenez une langue, écoutez-là, immergez-vous dans cette langue à l’aide de podcasts, d’émissions de radio ou de livres audio en VO.
Tout comme pour les livres, après l’écoute d’un podcast, il peut être intéressant de prendre quelques notes dans un carnet : qu’avez-vous retenu ? Cette émission a-t-elle soulevé des questions ? Cela vous donne-t-il envie de découvrir un sujet connexe ?
“ Ne considérez jamais les études comme une obligation, mais plutôt
comme une opportunité de pénétrer dans le bel et merveilleux monde du savoir. ”- Albert Einstein
Discuter
Participez à des discussions dès que l’occasion se présente ; avec votre famille, les amis de vos parents, vos amis, votre libraire préféré, votre professeur de langue ou votre coach sportif… peu importe.
N’hésitez jamais à apporter un sujet de discussion à la table du dîner. Chacun donnera son point de vue, pourra argumenter, s’ouvrir aux idées des autres... c’est toujours enrichissant.
Clonlara propose des clubs, organisés par les conseillers et conseillères et les autres élèves sur Discord. Si vous avez envie de rejoindre un groupe dans votre ville ou village, essayez de faire une recherche sur Meetup. J’ai moi-même trouvé un groupe très sympathique pour parler anglais.
Améliorer la recherche d’information sur internet
Exercez votre capacité à chercher des informations sur internet et à évaluer la qualité de ce que vous trouvez. Cela signifie que vous pouvez passer du temps à trouver les bons articles, les bons liens. Ne cliquez pas sur les premiers résultats (ceux qui vous proposent les sites les plus visités, qui présentent ce que tout le monde sait déjà), creusez un peu plus, explorez des résultats proposant différents points de vue, testez différents mots clés pour lancer votre recherche sur un même sujet.
Devenir bon en recherche de contenu sur internet est une très bonne capacité à avoir. Ce n’est pas très compliqué. Plus vous apprenez à poser les bonnes questions, plus vous devenez précis et exact dans vos résultats.
Pensez également à vérifier vos sources. Posez-vous systématiquement la question : Qui écrit cela ? Qui parle ? Cela vous donnera une idée de la légitimité de l’auteur, de sa qualification, de la pertinence du contenu que vous allez lire.
Utiliser le dessin ou autre type de visuels
Vous pouvez créer des visuels pour accompagner vos apprentissages, mémoriser des informations ou organiser vos idées : des schémas, des cartes, des tableaux ou graphiques, des cartes mentales… Ce processus pour certain est très utile pour fixer des apprentissages et pour y voir plus clair. Le fait de réaliser un visuel, tout comme pour l’écrit, oblige à faire une synthèse, à sélectionner les informations essentielles et pertinentes, à créer une hiérarchie (du plus large au plus précis ou l’inverse par exemple).
Quand vous êtes lancés dans une recherche dans un domaine précis, le dessin peut apporter une autre dimension à vos apprentissages : dessinez les plantes que vous étudiez en botanique, les oiseaux si vous êtes lancés dans l’ornithologie, des parties du corps humain... peu importe, le dessin ou autre type de visuel peut améliorer votre compréhension du sujet car vous allez rechercher de la précision et des détails.
Se lancer dans une collection
Si vous êtes du genre à collecter des choses, ce peut-être le début de quelque chose. Vous pourrez peut-être créer votre petit muséum en collectionnant des pierres, des affiches des années 30, des cartes postales, des porte-clés, des vinyles des années 50… bref, encore une fois peu importe votre passion, elle pourrait vous mener à une collection et surtout à acquérir un savoir pointu à propos de ce que collectez et éventuellement le présenter à d’autres personnes. Si vous n’avez pas une unique passion mais que vous avez l’esprit d’un collectionneur, remettre le cabinet de curiosités au goût du jour pourrait être une autre idée.
Expérimenter
Lorsque vous menez un projet, n’hésitez pas à vous lancer dans une expérimentation, des tests, des recherches, lancez vos propres essais. Prenez note de vos expériences, des différentes étapes, des essais/erreurs... que ça soit en cuisine, en chimie, en jardinage, en couture, en design d’objets 3D, peu importe ! Il y a toujours moyen d’expérimenter et prendre note des résultats (c’est de la recherche).
Créer
Dans la même veine, n’hésitez pas à réaliser vos idées, à créer des objets et à vous renseigner sur des techniques. Encore une fois pas de limite : un sac en crochet, une cabane de jardin, un journal créatif, des miniatures en pâte Fimo, un film, un gâteau de fête… laissez votre imaginaire et votre créativité vous guider. Aujourd’hui il est très facile d’accéder à des tutos dans tous les domaines sur internet. Vous pouvez également poser la question autour de vous, en fonction de votre projet, vous avez peut-être un ami, un parent qui s’y connait et pourrait vous aider.
Utiliser des jeux
Apprendre par les jeux peut se faire à tout âge, ce n’est pas seulement réservés aux petits. Les anglophones appellent cela “Gameschooling”. Il est bien reconnu que l’on apprend mieux quand l’enthousiasme est là, quand on s’amuse, ce que les jeux permettent. Il en existe pour tous les âges et couvrant de nombreux sujets, comme l’histoire, la géographie, les mathématiques, les sciences.. Voici un lien vers un article en anglais.
Partager
Après avoir étudié en profondeur un sujet qui vous passionne, l’envie vous prendra peut-être de partager vos connaissances avec d’autres. Ce peut être simplement avec vos amis ou votre famille, ou alors de manière plus “organisée” en faisant un exposé à présenter à un groupe. Préparer une présentation vous amène à structurer vos connaissances, à faire le tri, car on ne peut pas tout dire, et à trouver la meilleure manière de transmettre des informations à un public non averti. Cela vous fait revoir ce que vous avez appris, prendre conscience de ce que vous savez ; le fait de préparer la présentation et de la faire vous aide à fixer vos connaissances.
Collaborer, aider…
Quand vous êtes dans le partage d’information, la collaboration et la création avec d’autres, vous apprenez aussi. Vous aidez votre sœur à faire ses devoirs, vous aidez à cuisiner chez vous, vous créez un site internet avec un ami pour partager votre passion commune, vous créez à plusieurs une chorégraphie sur votre chanson préférée… Ces moments informels de discussion et d’entraide autour d’un projet sont à valoriser et encourager.
À Clonlara, les élèves doivent faire des heures de services rendus à la communauté. Vous pouvez aussi y penser. C’est une occasion de vous poser la question : en quoi puis-je aider ? Que puis-je apporter aux autres ? C’est très valorisant d’apporter son aide ou son soutien et c’est aussi une très bonne manière d’apprendre quelque chose ou de consolider des connaissances.
Développer des compétences concrètes
Combien de personnes sortent des universités avec un manque de compétences concrètes, applicables dans la vraie vie. Pour les différents sujets qui vous intéressent, il est évidemment très intéressant et enrichissant d’étudier la théorie, en lisant ou en écoutant les meilleurs dans le domaine, mais il est tout aussi important de chercher à développer des compétences réelles, concrètes et applicables. Recherchez des tutos ou entrez en contact avec des personnes qui peuvent vous aider, mais faites ce que vous pouvez pour vous entrainer et acquérir des compétences. Cela vous sera utile pour la suite de vos études et votre travail.
Trouver des mentors et apprendre des meilleurs
Un ou une mentor peut être une personne proche que vous connaissez, comme vos parents, vos amis, des proches de votre famille…, ce peut être aussi une personne travaillant dans le domaine d’expertise que vous visez. Mais quel qu’il soit, un mentor n’est pas une personne qui vous dicte quoi faire ou qui vous surveille, c’est une personne vers laquelle vous vous tournez car elle a des connaissances à partager, et qui peut éventuellement vous soutenir, vous encourager et vous aider dans votre progression.
S’il y a une personne que vous admirez tentez votre chance ! Écrivez-lui une lettre en commençant par lui poser des questions dans le domaine qui vous concerne. Rappelez-vous qu’il n’y a pas de questions idiotes, et contacter une personne experte pour poser des questions n’est jamais idiot. Voyez si la personne vous répond. Et si oui, voyez si vous pouvez engager une conversation et peut-être allez plus loin. Pour prendre contact avec une personne qui ne vous semble pas très accessible, il peut être utile de réfléchir de quelle manière vous pourriez lui rendre service : la soulager en prenant en charge un petit travail pas compliqué mais qui lui prend du temps, refaire son site internet, ou une mise à jour, poster sur les réseaux sociaux, faire de la relecture de texte... Il faut être patient. Les mentors ne sont pas faciles à trouver, et une relation de mentora prend souvent un peu de temps pour se développer.
Si vous jouez de la musique par exemple, vous prenez des leçons, et au fil du temps votre relation avec votre professeur s’affine, il s’intéresse à vous, vous lui posez des questions, lui parlez de vos projets... il vous soutient et vous aide, vous avez un mentor !
Si vous connaissez quelqu’un qui pourrait faire un bon mentor, encouragez la relation dans cette direction. Dites-lui que vous admirez son travail, montrez-lui que vous aimez passer du temps avec elle ; demandez des conseils, demandez si vous pouvez l’assister dans son travail d’une manière ou d’une autre. Mais si la personne ne répond pas positivement, n’insistez pas.
Et enfin, si vous ne connaissez personne qui pourrait devenir votre mentor, investissez-vous dans ce que vous aimez et rencontrer le plus de personnes possibles dans ce milieu, ce sont des mentors potentiels.
Vous pouvez également vous inspirer de personnalités, de pointures dans leur domaine pour apprendre des meilleurs. Ce sont des personnes que vous ne rencontrerez certainement pas, ou qui sont décédées. Dans ce cas les personnes n’ont pas besoin de savoir que vous existez pour que vous puissiez apprendre d’elles. Il est possible aujourd’hui d’avoir accès à ce qui se fait de meilleur dans le domaine que l’on souhaite étudier : des livres, des conférences, des lives, des masterclass... On peut se plonger dans le travail, la réflexion et la philosophie d’une personnalité pour apprendre d’elle et s’en inspirer, c’est alors un mentor virtuel, mais non moins important.
Voilà, j’arrive au bout de ce long article. J’espère qu’il vous apporte des pistes pour enrichir votre manière d’apprendre. Je serai curieuse et heureuse d’avoir le retour de jeunes qui me liront, pour savoir si cela vous a aidé ;-) Merci !
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